TOULOUSE, MARSEILLE - À travers une centaine de croix processionnaires, reliquaires, calices et ciboires, le Musée Paul-Dupuy évoque la production d’orfèvrerie religieuse languedocienne à l’époque de la Renaissance.
Sculptées dans l’or, l’argent ou le vermeil, souvent enrichies de pierres précieuses, les œuvres sortent rarement des sacristies dont elles sont issues. L’art délicat de l’orfèvrerie a également retenu l’attention du Musée Grobet-Labadié qui se penche, lui, sur la production provençale du XVIIIe siècle. Salières, aiguières, verseuses, pots en tout genre ou flambeaux témoignent des singularités régionales.
Trésors d’orfèvrerie en Languedoc au XVIe siècle », Musée Paul-Dupuy, 13, rue de la Plean, 31000 Toulouse, tél. 05 61 14 65 50. Jusqu’au 20 février 2006.
« L’orfèvrerie civile en Provence au XVIIIe siècle », Musée Grobet-Labadié, 140, bd Longchamp, 13100 Marseille, tél. 04 91 62 21 82. Jusqu’au 26 février 2006.
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L’art de l’orfèvrerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°225 du 18 novembre 2005, avec le titre suivant : L’art de l’orfèvrerie