Ricardo Brey se situe au confluent de plusieurs cultures ; profondément marqué par le communisme et la religion vaudoue de par ses origines cubaines, l’artiste subit également l’influence des sociétés modernes occidentales – il vit depuis plusieurs années en Belgique. Ses matériaux de prédilection sont des objets de consommation usagés qu’il cherche à recycler. Ses œuvres prennent parfois la forme d’oasis rescapées de catastrophes naturelles, en équilibre provisoire. « Je travaille sur le point de rencontre entre la destruction et la croissance, (...). C’est justement ce point entre construction et destruction qui m’intéresse ».
Galerie Xippas, jusqu’au 20 mars.
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La tornade Brey
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°504 du 1 mars 1999, avec le titre suivant : La tornade Brey