Depuis sa mort en 1995, aucune institution française ne s’est véritablement donnée la peine de consacrer une exposition à Michel Journiac. Cela est d’autant plus étonnant que ce fondateur à la fin des années 60 de l’art corporel en France laisse derrière lui une œuvre d’une incroyable richesse. L’actuelle présentation propose pour la première fois l’intégralité de sa pièce intitulée 24 heures dans la vie d’une femme en France où, travesti, il mime à tour de rôle les étapes de la journée type d’une femme pour les confronter ensuite à autant de fantasmes tout aussi stéréotypés.
NOISY-LE-SEC, La Galerie, 8 mars-24 avril.
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Journiac se travestit
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°524 du 1 mars 2001, avec le titre suivant : Journiac se travestit