Une maison de lumière s’offrant à voir comme un cocon ouvert, une enveloppe protectrice, mais qui n’en reste pas moins une cage.
Le travail de Jeanne Susplugas, fondé sur l’addiction et l’enfermement, se plaît à jouer de dispositifs paradoxaux tout à la fois attractifs et répulsifs. L’architecture, façon maison de poupée ou caisses de transport d’œuvres, y occupe une place de choix pour ce qu’elle est la métaphore de l’enveloppe du corps. Figure axiale de la démarche de l’artiste, ce dernier est aussi le prétexte à toute une production de photos, dessins et vidéos.
Centre d’art Le LAIT, Laboratoire artistique international du Tarn, Moulins albigeois, 41, rue Porta, Albi (81), www.centredartlelait.com
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Jeanne Susplugas
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°659 du 1 juillet 2013, avec le titre suivant : Jeanne Susplugas