Jean-Luc Parant, né en 1944 à Tunis (Tunisie), s’est intitulé dès la fin des années 1960 « fabricant de boules et de textes sur les yeux ».
Ses boules de terre, de cire ou de papier lui servent à s’inscrire dans le monde, via son corps et ses mains qui les fabriquent inlassablement. Avec sa nouvelle exposition, « Mémoire du merveilleux », ce poète à visée cosmogonique choisit, en combinant ses boules avec des productions secrètes de la nature (insectes, animaux naturalisés, herbiers anciens, minéraux), de décortiquer pour nous les mécanismes de production incessante qu’offre la nature autant que la création artistique.
Galerie Pierre-Alain Challier, 8, rue Debelleyme, Paris-3e, www.pacea.fr
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Jean-Luc Parant
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°650 du 1 octobre 2012, avec le titre suivant : Jean-Luc Parant