ARRAS - Survenu, selon la tradition, le 28 mai 1105, le miracle de la Sainte Chandelle sauva d’une mort promise des malades atteints du fameux « mal des ardents », épidémie incurable ravageant l’Europe du Nord du XIe au XIIe siècle. Relaté par nombre de manuscrits, œuvres d’art et éléments architecturaux, ce fait miraculeux et le culte qui lui fut lié font aujourd’hui l’objet d’une exposition au Musée des beaux-arts d’Arras. Le polyptyque de la Sainte Chandelle (1581) accueille le visiteur, qui découvre ensuite différents ornements, gravures, tableaux, éléments liturgiques et œuvres plus récentes, soulignant la vivacité du culte aujourd’hui encore.
« Histoire d’un miracle, la Sainte Chandelle d’Arras », Musée des beaux-arts d’Arras, 22, rue Paul-Doumer, 62000 Arras, tél. 03 21 71 25 05, www.musenor.com. Jusqu’au 4 juillet.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Histoire d’un miracle
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°214 du 29 avril 2005, avec le titre suivant : Histoire d’un miracle