Ce n’est pas à proprement parler une œuvre qui ouvre l’exposition, mais le témoignage d’une vie passée à peindre : une sélection des pochettes de disques vinyles que Gasiorowski a parfois recouvertes de peinture, d’autre fois entièrement recomposées.
Jonathan Loppin, le commissaire de l’accrochage, « fou de la peinture de Gasio », nous apprend que l’artiste écoutait du jazz le matin, du classique l’après-midi et du blues le soir. Il le tient de Colette Portal, la dernière compagne de l’artiste, qui a prêté les disques, comme les boîtes de rangement, elles aussi recouvertes de peinture, qui ferment l’exposition. Entre les deux : des Croûtes (1970), des œuvres des personnages de l’Académie Worosis Kiga et même le chapeau du professeur Hammer. Bref, un Gasiorowski inédit, celui qu’on aime, à Maromme.
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« Gasiorowski, c’est tout »,
Le Shed, site de l’Académie, 96, rue des Martyrs-de-la-Résistance, Maromme (76),
www.le-shed.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°756 du 1 juillet 2022, avec le titre suivant : Gérard Gasiorowski