D’un côté un Rio vide et décrépit, de l’autre, la rectitude froide du Shanghai contemporain étrangement déserté. Restent les bâtiments, les ponts autoroutiers et des kilomètres de câbles électriques qui scandent l’espace.
Gabriele Basilico scrute les métamorphoses de villes, tantôt fulgurantes, tantôt soucieuses du passé. De lentes sédimentations historiques se confrontent alors aux architectures sans mémoire, impersonnelles. Pendant longtemps, le photographe les aimait en noir et blanc, la couleur leur donne désormais une autre théâtralité à découvrir entre Rio et Shanghai.
Galerie Anne Barrault, 22, rue Saint-Claude, Paris-3e, www.galerieannebarrault.com
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Gabriele Basilico
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°643 du 1 février 2012, avec le titre suivant : Gabriele Basilico