Ah, cette sensualité qui se dégage des scènes galantes de Fragonard ! Avec son aîné Boucher, qui le forme à son art, il est le peintre des frivolités du XVIIIe siècle. Étonnamment, c’est la première fois qu’un musée propose une lecture de son œuvre sous le prisme de l’état amoureux. Car au-delà des aimables polissonneries représentées, Fragonard renouvelle le genre en saisissant les subtiles variations de cet état physique et psychique.
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Fragonard amoureux
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°682 du 1 septembre 2015, avec le titre suivant : Fragonard amoureux