FRANCFORT - Première grande rétrospective allemande consacrée à l’artiste belge depuis 1972, « James Ensor », à la Schirn Kunsthalle de Francfort, dresse le portrait d’un peintre dont l’influence n’épargna ni les expressionnistes allemands ni les surréalistes. Amateur d’absurde, Ensor peuplait ses toiles de masques, de squelettes, de créatures imaginaires et démoniaques. Organisée par thèmes (« Mort et masques », « Images du Christ », « Théâtre et musique »…), l’exposition révèle notamment les influences d’Ensor, comme celles de Turner pour les marines et de Rubens pour les autoportraits.
« James Ensor », Schirn Kunsthalle, Römerberg, Francfort, tél. 49 69 299 88 20.
Jusqu’au 19 mars.
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Ensor tombe le masque
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°230 du 3 février 2006, avec le titre suivant : Ensor tombe le masque