Là, au centre de Londres, dans un immeuble anodin, il faut monter deux étages et fouler le brun plancher de la galerie de Richard Nagy pour admirer les étalages de l’Exception.
Issues de la collection du financier américain Benedict Silverman, vénérable octogénaire, les dix-neuf œuvres, enfantées par la Sécession viennoise et l’Expressionnisme allemand, pétrifient l’œil et harcèlent la mémoire. Klimt, Grosz, Kubin, Beckmann ou Meidner escortent une Cène laïque et sublime de Schiele (1918) ou une Vénus lactescente et gantée de Dix (1932). Diablement beau.
Richard Nagy Gallery, 22 Old Bond Street, Londres (Royaume-Uni), www.richardnagy.com
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Élixirs privés
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°651 du 1 novembre 2012, avec le titre suivant : Élixirs privés