PARIS
Les portraits et les mises en scène de l’artiste canadienne abordent tour à tour la question du racisme, du genre et des classes sociales, mais aussi la manière dont tout un chacun s’inscrit dans son rapport à l’autre.
Le déterminisme ne fait pas partie du langage d’Elaine Stocki, pas davantage que la doxa à un genre de photographie ou au seul noir et blanc. Ses créations récentes couplées à ses aquarelles rappellent le renouvellement continuel de l’écriture photographique et ses attachements autant à l’abstraction qu’au documentaire.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°725 du 1 juillet 2019, avec le titre suivant : Elaine Stocki