Dans les années cinquante, Algur Hurtle Meadows, fondateur et président de la General American Oil Company of Texas, découvre l’Espagne et, incidemment, le Musée du Prado.
De ce coup de foudre est née l’une des plus importantes collections de peinture espagnole hors de la péninsule Ibérique, aujourd’hui conservée au Musée Meadows, à Dallas. Le Musée Thyssen-Bornemisza, à Madrid, a obtenu le prêt de 27 tableaux signés des plus grands maîtres du XVe siècle au début du XXe : cette sélection comprend notamment une Santa Justa et une Santa Rufina, les deux patronnes de Séville, par Murillo, une Sibylle de Vélasquez, un portrait de Ribera, une Nature morte aux bécasses de Goya, ainsi que des œuvres de Picasso, Miró et Gris.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Du pétrole et du goût
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°106 du 26 mai 2000, avec le titre suivant : Du pétrole et du goût