Lettrés comme Lucien Simon et Ménard, rêveurs et intimistes comme Aman-Jean et Le Sidaner, amis des scènes d’intérieur comme Prinet, tous appartiennent à une communauté d’artistes qui manifestent leur indépendance dans le choix des sujets, paysages, portraits, allégories et dans la manière de les traiter, avec des teintes tamisées et des contours tremblés. La Société nouvelle de peintres et de sculpteurs regroupa autour de 1900 cette vingtaine d’artistes épris de liberté esthétique et du sens du mystère.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°735 du 1 juillet 2020, avec le titre suivant : Derniers impressionnistes