WATTWILLER
Carte blanche au plasticien-compositeur qui a représenté la France à la Biennale de Venise en 2015.
Ses installations hybrides, sonores et visuelles, se déploient dans l’ensemble du centre d’art, dont le sens de visite est inversé pour l’occasion (de bas en haut). Les œuvres, presque exclusivement réalisées in situ, proposent un dialogue fécond entre naturel et artificiel, animé et inanimé, à travers un parcours sensoriel déroutant. Réel et imaginaire fusionnent tandis que science et fiction s’unissent.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°725 du 1 juillet 2019, avec le titre suivant : Céleste Boursier-Mougenot