« Un dessin, cela ne se raconte pas, cela se regarde », affirmait le dessinateur de presse, tombé sous les balles lors de l’attentat djihadiste du 7 janvier 2015 contre la rédaction de Charlie Hebdo.
Pour commémorer les 80 ans de la rafle du Vél’d’Hiv, une autre tragédie française qui a coûté la vie à 13 000 Juifs, le Mémorial de la Shoah, avec le soutien de la veuve de l’artiste, Véronique Cabut, expose 16 dessins inédits, jamais exposés, réalisés pour le magazine Le Nouveau Candide en 1967. On retrouve ici, non sans émotion, avec ses feuilles brutes, le style « coup de poing dans la gueule » du pacifiste convaincu qu’était Cabu.
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« Cabu. Dessins de la rafle du Vél’d’Hiv »,
Mémorial de la Shoah, 17, rue Geoffroy-L’Asnier, Paris-4e,
www.memorialdelashoah.org
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°756 du 1 juillet 2022, avec le titre suivant : Cabu