"Il faut débarrasser l'image de toute graisse superflue, dire avec toute la clarté ce qu'on a à dire, retenir et conduire l'œil avec autorité", ainsi Brassaï résumait-il son travail. Rouvert depuis peu (lire le JdA n° 167, 21 mars 2003), l’Albertina, à Vienne (jusqu'au 7 septembre, tél. 43 153 48 30), met à l'honneur le photographe autour de 250 épreuves issues de ses collections mais aussi de celles du Musée national d’art moderne, à Paris. En septembre, le musée s'intéressera à l'œuvre d'Albrecht Dürer à travers 150 dessins, aquarelles et gravures provenant de la National Gallery de Londres, des Offices, à Florence, du Musée Thyssen-Bornemisza, à Madrid, ou du Musée national de Lisbonne.
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Brassaï et Dürer à l'heure viennoise
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°174 du 27 juin 2003, avec le titre suivant : Brassaï et Dürer à l'heure viennoise