Sa production sobre et prolifique fait l’objet d’une exposition au Louvre, qui présente notamment les regalia du sacre de Napoléon (dits les « honneurs de Charlemagne »), plusieurs nécessaires – ces grands coffrets rassemblant une multitude de petits objets de toilette, dont Biennais s’était fait une spécialité –, d’élégants petits meubles révélant le talent de l’artisan en ébénisterie, et surtout les deux seuls services à thé de l’orfèvre parvenus jusqu’à nous : l’un fut réalisé pour Joséphine, l’autre à l’occasion du mariage de l’empereur avec Marie-Louise. Certains objets sont en outre confrontés à leur modèle dessiné, généralement fourni par l’architecte Charles Percier.
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Biennais, orfèvre de Napoléon Ier
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°181 du 21 novembre 2003, avec le titre suivant : Biennais, orfèvre de Napoléon Ier