Pour bâtir son univers, Benoît Lemercier, né en 1965 à Angers, s’appuie sur les théories fondamentales qui expliquent l’organisation de la matière à ses différentes échelles, du microscopique au macroscopique, dont il offre une vision artistique en trois dimensions avec ses deux séries présentées ici : Supercordes et Hypercordes.
Vers l’infiniment grand, les sculptures en acier peint de la série Hypercordes donnent à voir la quatrième dimension ; celles de la série Supercordes, vers l’infiniment petit, dévoilent les ondulations infinitésimales du plus petit constituant de la matière. D’une très belle présence plastique, ces pièces, toutes conçues pour l’occasion, sont proposées à des prix allant de 7 000 à 35 000 euros.
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Benoît Lemercier, en galerie
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°667 du 1 avril 2014, avec le titre suivant : Benoît Lemercier, en galerie