L’exposition monographique consacrée à l’artiste égyptien est à penser comme une œuvre globale.
Structurée par deux films marquant le début et la fin du parcours, elle présente des peintures, photos, installations et vidéos qui sont autant de poèmes visuels – narratifs mais insaisissables. Les œuvres de Magdy entremêlent les récits et les temporalités, détournent les images et superposent les techniques pour questionner le rapport de l’homme au réel, à l’histoire et à la nature.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°725 du 1 juillet 2019, avec le titre suivant : Basim Magdy