Développés depuis 1997, les Bureaux d’activités implicites (BAI) de Tatiana Trouvé ont trouvé au Palais de Tokyo un abri propice à leur développement.
Ces structures fragiles, à la croissance quasi organique, prennent l’aspect de maquettes où voisinent dispositifs sonores et visuels. À côté, l’artiste a dressé un Polder, autre élément classique de son vocabulaire. Architectures précaires, ces constructions de taille modeste dessinent autant d’espaces intimes propres à recueillir les sentiments et les activités de chacun.
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Architecture active
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°150 du 31 mai 2002, avec le titre suivant : Architecture active