Peintre et graveur, André Masson est peu connu pour ses sculptures, et pour cause, sa production ne compte qu’une trentaine d’œuvres seulement.
Disparu il y a trente ans, ce proche d’Alberto Giacometti et de Joan Miró a pourtant été le précurseur de l’automatisme en sculpture. Dix-sept de ses bronzes réalisés entre 1927 et 1986 sont exposés au Musée de l’hospice Saint-Roch. Quant au catalogue, Tectonique d’André Masson, il est signé Didier Ottinger, commissaire de l’exposition « Le Surréalisme et l’objet » en 2014 au Centre Pompidou.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
André Masson - Musée de l’hospice Saint-Roch
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°703 du 1 juillet 2017, avec le titre suivant : André Masson - Musée de l’hospice Saint-Roch