La Villa Médicis a accueilli au cours des étés 98 et 99 les deux premières éditions d’un cycle triennal d’expositions consacré à l’art contemporain, « La Ville, le Jardin, la Mémoire ». En 2000, le troisième volet se conclut avec une édition plus spécialement consacrée au thème du jardin. Une trentaine d’artistes internationaux et les pensionnaires de l’Académie de France à Rome explorent l’avenir des jardins dans nos villes. Un pavillon rappelle l’architecture de la folie. Il est la réalisation physique d’une banque de données et d’un centre d’archives sur les jardins d’artistes contemporains à travers le monde tels que l’Italien Stefano Boeri, le Chinois Yung Ho Chang ou l’Allemand Olaf Nicolaï... L’architecte-paysagiste Gilles Clément, commissaire de la grande exposition le « Jardin Planétaire » à la Villette, donne sa vision du jardin et réalise en collaboration avec Nicolas Gilsoul, architecte pensionnaire de la Villa Médicis, un projet qui s’inscrit dans le cadre d’une réflexion paysagère. Et l’Américaine Teresita Fernàndez crée à l’intérieur de l’antique citerne romaine, un jardin de nénuphars où flottent une centaine de petits objets dans un jeu de lumières aquatiques.
ROME, Villa Médicis, jusqu’au 24 septembre.
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Acte III, côté jardin
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°518 du 1 juillet 2000, avec le titre suivant : Acte III, côté jardin