PARIS - Connu pour son travail photographique, où se croisent l’héritage surréaliste du document et la réflexion sur l’information et sa diffusion, Jean-Luc Moulène a accompagné avec discrétion cette pratique d’autres travaux recourant à la sculpture ou au dessin. Les visiteurs attentifs de la dernière Biennale de Venise auront déjà eu un aperçu de cette ouverture et du dialogue entretenu par l’artiste d’un médium à l’autre, ils en auront ici la confirmation. Pour sa première exposition à la galerie Chantal Crousel, Moulène a mêlé ces propositions dans un accrochage en deux temps. Le second, actuellement présenté, souligne les absences et les redéploiements du premier par une série d’interventions à même les murs et le sol.
« Jean-Luc Moulène, œuvres », galerie Chantal Crousel, 40, rue Quincampoix, 75004 Paris, tél. 01 42 77 38 87, www.crousel.com. Jusqu’au 4 septembre (fermée du 31 juillet au 24 août).
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Moulène, deuxième temps
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°197 du 8 juillet 2004, avec le titre suivant : Moulène, deuxième temps