NÎMES - L’exposition de Françoise Vergier au Carré d’Art de Nîmes a été conçue comme une cosmogonie où viendraient s’enchâsser les œuvres comme autant de fragments à relier dans un grand tout.
Attentive à la nature symbolique du corps, l’artiste, restée discrète depuis sa monographie au Musée national d’art moderne en 1995, poursuit donc ses recherches à mi-chemin entre la sculpture
et la production d’objets surréalisants à inscrire dans un univers intime et paysager plus vaste. Elle présente aussi dans ce cadre la vingtaine de pièces en terre cuite et verre qu’elle a réalisé ses deux dernières années aux Cirva (Centre international de recherche sur le verre), à Marseille.
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Le paysage au corps
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°186 du 6 février 2004, avec le titre suivant : Le paysage au corps