photo. En mars 2018 paraissait Where I Find Myself de Joel Meyerowitz, livre-rétrospective d’un photographe américain connu pour son travail en couleur.
La version française publiée par Textuel reprend la construction, les récits et les commentaires de l’auteur sur plus de cinquante ans de production, sa distinction aussi entres deux « langues » qu’il dit avoir fait siennes, en distinguant la production à la chambre grand format entamée à partir de 1976 de celle réalisée auparavant dans la rue au 35 millimètres. L’ouvrage débute avec ses dernières images de nature morte pour finir sur la première réalisée en 1963, année de ses premières scènes de rues new-yorkaises en noir et blanc ou en couleur. Comme à son habitude Joel Meyerowitz se révèle un conteur généreux. L’édition pèche toutefois par une maquette trop rigide, mais surtout par un choix et une taille de caractère (pour presbyte avancé) manquant de finesse.
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Meyerovitz dans les grandes lignes
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Joel Meyerowitz, Rétrospection,
é
ditions Textuel, 352 p., 59 €.
Cet article a été publié dans Le Journal des Arts
n°510 du 2 novembre 2018, avec le titre suivant : Meyerovitz dans les grandes lignes