Le Journal des Arts a pu visiter huit des plus grandes expositions d’automne dans les grands musées parisiens et les commente en toute indépendance. Mais ce ne sont que quelques-unes parmi la centaine d’expositions programmées en cette fin d’année.
Première constatation, les organisateurs jouent d’abord la sécurité en pariant sur des noms ou des périodes appréciés du publique : Braque, Jordaens, Vallotton, Frida Kahlo, la Renaissance italienne, le surréalisme… La palme dans ce domaine revient à Orsay qui dénude les hommes et à la Bibliothèque nationale de France qui expose Astérix.
Seconde constatation, de nombreuses expositions sont montées à partir de prêts étrangers, illustrant à la fois le prestige de la place parisienne, mais aussi la capacité des grands musées français à prêter eux-mêmes, en échange, des pièces maîtresses. Une situation qui risque de ne pas durer si la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, veut redéployer largement les collections nationales en région.
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Le numéro de charme des musées parisiens
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°398 du 4 octobre 2013, avec le titre suivant : Le numéro de charme des musées parisiens