Le Brésil jouit d’une réputation positive en France et pas simplement parce que ses joueurs ont laissé gagner l’équipe de France de football en 1998. Copacabana, « la fille » d’Ipanema, la forêt amazonienne, le président Lula, le carnaval de Rio... autant d’images réjouissantes.
Côté culturel, longtemps la littérature et, plus encore, la musique ont accaparé toute l’attention. C’est d’ailleurs à un musicien, Gilberto Gil, que le président Lula confie en 2003 le ministère de la Culture. Mais depuis vingt ans, sous l’impulsion d’un fort développement économique et d’une plus grande ouverture vers l’international, le Brésil remet en valeur son patrimoine baroque et moderniste, construit des musées, exporte ses artistes contemporains et développe son marché de l’art.
C’est l’histoire de cette renaissance que notre correspondant à Rio de Janeiro, David Robert, entouré de plusieurs experts, raconte avec minutie. Un dossier à compléter par la lecture d’un entretien exclusif avec la ministre de la Culture Marta Suplicy et un portrait de l’artiste Tunga.
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Le Brésil se joue des clichés
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°414 du 23 mai 2014, avec le titre suivant : Le Brésil se joue des clichés