Bruxelles. L’artiste a été mis en cause par vingt collaborateurs dans une lettre ouverte publiée le 13 septembre dans la revue belge Rekto : verso.
Ceux-ci y dénoncent des humiliations et pressions sexuelles récurrentes, subies au cours de répétitions ou au domicile de l’artiste. Dans le même numéro de la revue, Jan Fabre et la compagnie Troubleyn ont répondu d’une seule voix à ces accusations, assurant que tout ce qui se passe au sein de la compagnie est fondé sur un consentement mutuel. Le plasticien, metteur en scène et chorégraphe réalise depuis des années des œuvres provocatrices, où le corps et la sexualité occupent une place essentielle.
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Jan Fabre accusé d’humiliation sexuelle
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°507 du 21 septembre 2018, avec le titre suivant : Jan Fabre accusé d’humiliation sexuelle