Paris. L’éditeur a accepté, lors d’une audience de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, la condamnation à dix-huit mois de prison avec sursis, 200 000 euros d’amende et 470 000 euros de confiscation pour évasion fiscale.
Mentionné dans les « Panama papers » (2016), le fondateur de la célèbre maison d’édition de bande dessinée avait mis en place un montage sophistiqué dans des paradis fiscaux, qui lui avait notamment permis d’acheter pour 3,5 millions d’œuvres D’art.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Jacques Glénat condamné pour évasion fiscale
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°573 du 17 septembre 2021, avec le titre suivant : Jacques Glénat condamné pour évasion fiscale