Le 11 avril, le chantier de dépose de la mosaïque a commencé. Après avoir été contemplée par 2 500 personnes lors d’un week-end portes ouvertes, la pièce sera entreposée dans des locaux de l’Inrap à Nîmes pour analyses « en attendant une éventuelle exposition », notait l’Inrap le mois dernier.
Entre-temps, des associations locales ont réclamé que la mosaïque reste sur place, quitte à renoncer aux aménagements prévus par la région pour les lycées d’Uzès. Sur fond de rivalité entre Uzès et Nîmes, certains craignaient que la fameuse pièce vienne alimenter le futur Musée de la romanité en construction à Nîmes. La présidente de la région Occitanie, Carole Delga, a promis en conférence de presse qu’elle mettrait « tout en œuvre pour préserver et valoriser ce patrimoine en lui consacrant un lieu dédié à Uzès », en concertation avec la mairie d’Uzès et la Drac. La décision n’est pas attendue avant septembre prochain.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Une mosaïque très convoitée
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°478 du 28 avril 2017, avec le titre suivant : Une mosaïque très convoitée