Artiste engagée et militante, qui stoppa ponctuellement sa pratique dans les années 1960, et dont le féminisme est l’un des chevaux de bataille, Monique Frydman a une histoire passionnante.
Ce nouvel ouvrage, couvrant les années 1970 à nos jours, est particulièrement bien pensé. Le Temps de peindre est doté de deux présentations, l’une d’Éric de Chassey et l’autre de Georges Roque, offrant une contextualisation et des pistes de lecture appréciables. Le lecteur y découvre les carnets, pour la plupart inédits, de cette figure de l’abstraction française et des entretiens. Comme son titre l’indique, il s’agit d’une immersion dans la création de Frydman, dont l’écriture est partie intégrante. Elle explique sa technique, mais aussi ses ambitions et offre une profondeur à la contemplation de ses toiles. S’ajoute, au cœur de l’ouvrage, une centaine de pages comprenant photographies et reproductions d’œuvres, pour notre plus grand plaisir.
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Le Temps de peindre
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°731 du 1 février 2020, avec le titre suivant : Le Temps de peindre