Picasso, une collection secrète

L'ŒIL

Le 1 juillet 1998 - 84 mots

Régulièrement, au fil des expositions, le public découvre des ensembles cohérents d’œuvres de Picasso. Il ne s’agit ici ni de celle de l’une de ses femmes, ni de l’un de ses enfants. Maurice et Jacqueline Bresnu étaient  respectivement chauffeur et femme de chambre de l’artiste qui les récompensa abondamment.
Les quelque cent-trente œuvres présentées parmi lesquelles de nombreux nus, couples et idoles féminines, traduisent l’énergie, créatrice et sexuelle, de l’artiste pendant les années 1965 à sa mort en 1973.

VIENNE, Kunsthaus, jusqu’au 30 août.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : Picasso, une collection secrète

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