Série de portraits de personnalités singulières (Céline, Virginia Woolf, Mohamed Ali…) ou de personnages de fiction (Frankenstein), les Grandes Traversées de France Culture ont consacré, l’été dernier, quatre émissions à Léonard de Vinci.
Produites par Emmanuel Laurentin et Adèle Van Reeth, ces émissions de près de deux heures chacune donnent la parole à des historiens de l’art, conservateurs de musées et philosophes, spécialistes du maître ou de la période Renaissance. La qualité des intervenants (Laure Fagnart, Jan Blanc, John Venerella, Louis Frank, etc.) et la rareté de leur parole font assurément le sel de cette grande traversée. Construite en deux parties (Léonard et ses maîtres suivie de l’analyse d’une œuvre) sur la base d’entretiens, la série n’a pas le rythme d’autres épisodes alternant archives, sons ou reconstitutions, à l’instar de la Grande Traversée dédiée à Walt Disney. C’est dommage. Toutefois, « Vinci, l’insaisissable » a le mérite de faire le point sur les connaissances actuelles sur Léonard, sept ans après une autre série de l’émission La Fabrique de l’histoire consacrée à Léonard et diffusée sur la même chaîne.
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Vinci l’insaisissable
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°727 du 1 octobre 2019, avec le titre suivant : Vinci l’insaisissable