En 2011, la biographie de Naifeh et White Smith avait suscité la controverse, car les historiens y développaient la thèse du meurtre de Van Gogh.
Une version sensationnaliste, impossible à démontrer, que battent en brèche quantité d’experts. Marianne Jaeglé reprend sans réserve les conclusions des Américains et exerce la licence poétique intrinsèque au roman. Elle retrace très librement les deux dernières années de l’artiste en surfant allègrement sur tous les poncifs du « peintre maudit » dont les chercheurs tentent désespérément de le débarrasser.
Vincent qu’on assassine,
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Vincent qu’on assassine
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°714 du 1 juillet 2018, avec le titre suivant : Vincent qu’on assassine