À partir de 1759, Diderot devient le témoin privilégié des « Salons », ces expositions organisées tout au long du XVIIIe siècle français au Louvre par l’Académie royale de peinture et de sculpture, dont il rend compte à travers des textes passionnés et dramatiques.
L’historien de l’art Stéphane Lojkine en propose aujourd’hui une analyse en mettant en lumière la nouvelle relation esthétique tissée entre le spectateur et l’œuvre d’art. Il montre comment Diderot pose une équivalence entre le dispositif de la représentation picturale et celui même de la pensée.
Stéphane Lojkine, L’Œil révolté, les Salons de Diderot, éd. Jacqueline Chambon, 2007, 384 p., 27 euros, ISBN 978-2-7427-7251-3.
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Quand Diderot faisait Salon
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°276 du 29 février 2008, avec le titre suivant : Quand Diderot faisait Salon