ESSAI. 100 ans après sa naissance, le surréalisme reste une énigme.
Et si au-delà de ses œuvres emblématiques et derrière ses questionnements, le surréalisme était aussi une philosophie, se demande Georges Sebbag, compagnon du mouvement pendant les années 60.
Le surréalisme, qui se caractérise entre autres par l’écriture automatique et le collage, a développé une approche particulière du temps que l’auteur appelle le temps sans fil. Le temps n’est plus celui de la durée chronologique et irréversible, mais celui de l’événement pur, des microdurées, qui donnent accès aussi bien au passé, qu’au présent ou au futur. Dans un ouvrage dense, Sebbag s’immerge et dissèque les textes, publications et lettres, d’André Breton et des artistes qui ont gravité autour de lui, pour révéler la signification sensible de l’imaginaire et de la poétique surréaliste.
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Portrait philosophique du surréalisme
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°638 du 6 septembre 2024, avec le titre suivant : Portrait philosophique du surréalisme