Des fémurs et crânes humains utilisés pour décorer des édifices religieux : de l’Antiquité au XIXe siècle, la frontière ténue entre la vie et la mort, associée à la nécessité d’un dialogue avec les défunts, a conduit à la création de nombreux charniers et ossuaires.
Dans ce livre bien illustré, l’historien de l’art américain Paul Koudounaris passe en revue les plus beaux sites chrétiens ; de la crypte du monastère de Santa Maria della Pace à Palerme à l’ossuaire de Sedlec en République tchèque en passant par les Catacombes de Paris.
Les Éditions du Regard, 2011, 224 p., 49 €, ISBN 978-2-84105-277-6
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Paul Koudounaris, « L’Empire de la Mort »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°363 du 17 février 2012, avec le titre suivant : Paul Koudounaris, « L’Empire de la Mort »