Documentaire. La cité florissante, à la croisée des routes commerciales entre Empire romain et le Proche-Orient, fut le siège d’une élite soucieuse de se faire représenter pour l’éternité.
Depuis 2012, l’archéologue danoise Rubina Raja enquête sur ces portraits délicats, sculptés dans le calcaire, qui constituent selon elle « le plus grand nombre de représentations visuelles de défunts du monde antique ». Aujourd’hui éparpillés dans le monde entier, chaque portrait se différencie par des attributs, des bijoux, des coiffes, autant d’indices qui permettent de reconstituer des histoires personnelles et familiales. Une production émouvante, pétrie d’influences gréco-romaines mais à l’ostentation orientale, qui permet d’incarner la communauté palmyrienne et de montrer l’image que ces hommes et ces femmes souhaitaient renvoyer aux yeux du monde. Un documentaire pour leur redonner un visage.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Les portraits funéraires de Palmyre
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°568 du 28 mai 2021, avec le titre suivant : Les portraits funéraires de Palmyre