Il existe toute une production de peintures populaires, contemporaines des ukiyo-e (« images du monde flottant ») et moins connues. Les « images d’Ôtsu », du nom de cette ville proche de Kyoto où le genre a prospéré, sont nées dans la première moitié du XVIIe siècle. À l’origine destinées à un usage religieux, elles ont embrassé ensuite des thèmes satiriques et moraux avec parfois des visées de porte-bonheur. En 1920, le graveur Kusunose Nichinen réalise une série d’estampes à partir de certaines de ces peintures que l’on peut admirer dans cet ouvrage sobre et de qualité.
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Le pendant populaire des « ukiyo-e »
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Abonnez-vous dès 1 €Kusunose Nichinen, Christophe Marquet, Ôtsue-E, Imagerie populaire du Japon, Éditions Philippe Picquier, Arles, 252 p., 35 €.
Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°439 du 3 juillet 2015, avec le titre suivant : Le pendant populaire des « ukiyo-e »