Écrivain, architecte, designer textile… William Morris (1834-1896) était un artiste aux multiples facettes.
C’est à son travail d’éditeur que Florence Alibert rend hommage en retraçant l’évolution de sa quête vers la création d’un livre idéal. Préraphaélite fasciné par le gothique, William Morris recherchait un équilibre entre fond et forme, une harmonie entre écrit et image en pensant le livre comme un tout architectural, une « cathédrale de poche » selon l’expression de son ami peintre Edward Burne-Jones. Une aspiration qui se concrétise dans les Kelmscott Press qu’il fonde à la fin de sa vie, ultime synthèse de toutes ses réflexions. Florence Alibert revient sur les influences littéraires et esthétiques qui transparaissent dans ses ouvrages, son goût pour la période médiévale et les épopées nordiques, son activisme social et politique. Une plongée dans l’imaginaire d’un artiste au style épique et ornemental, qui a modifié le monde du livre du début du XXe siècle en Angleterre et au-delà.
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Le livre idéal de William Morris
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°778 du 1 septembre 2024, avec le titre suivant : Le livre idéal de William Morris