BIOGRAPHIE. Gala, la muse, l’égérie, a fait des hommes de sa vie ses créations, elle qui n’a jamais écrit ni peint.
Femme d’Éluard qui reconnaît en elle « l’émanation la plus spéciale d’une âme bien installée », elle fut aussi l’amante de Max Ernst qui partagea un temps la vie du couple dans un trio déchirant. Sous le soleil de Cadaqués, elle se lie enfin à Salvador Dalí avec lequel elle forme « une hydre à deux têtes ». L’ouvrage apporte un récit passionnant de sa vie, ainsi qu’un riche album photographique de celle qui sut entretenir son mystère, « unique femme mythologique » pour Dalí, sorcière pour les autres.
Laetitia Cénac, Gala/Dalí. Égérie de l’art moderne, Éditions de La Martinière, 191 p., 39 euros.
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Laetitia Cénac, « Gala/Dalí. Égérie de l’art moderne »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°655 du 1 mars 2013, avec le titre suivant : Laetitia Cénac, « Gala/Dalí. Égérie de l’art moderne »