David Hockney s’est régulièrement exprimé sur la photographie et sa pratique du médium.
La réunion par la galerie Lelong & Co. de trois de ses écrits retrace son positionnement et ses fondamentaux. Publiés respectivement en 1982, 2001 et 2013, ils expriment en particulier la place centrale tenue par Picasso et le cubisme. Confronté aux limites de la photographie à contenir l’expérience du regard de la réalité, David Hockney explique comment il a trouvé dans le cubisme le moyen de l’appréhender de la manière la plus juste. La recontextualisation par l’artiste de ses abandons réguliers de la photographie pour la peinture, et inversement, ainsi que l’articulation photographie-peinture conduisent à d’autres réflexions et entreprises fondamentales qu’il a menées au cours de ces trois décennies. Si l’édition de ces textes est exempte de reproductions de photographies ou de documents, son élégante sobriété n’en crée par moins une intimité des plus agréables avec la pensée de l’auteur.
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Hockney, sur la photographie
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°754 du 1 mai 2022, avec le titre suivant : Hockney, sur la photographie