RÉÉDITION. Portraitiste de talent, Gisèle Freund (1908-2000) fut aussi l’une des rares, sinon la seule, historiennes de sa pratique : la photographie.
En 1936, ayant fui l’Allemagne nazie, elle soutient à Paris un doctorat sur La photographie en France au XIXe siècle. Publiée dans la foulée par Adrienne Monnier, sa thèse, qui était depuis longtemps épuisée, sera le point de départ du futur Photographie et Société que Freund publiera en 1974.
Christian Bourgeois Éditeur, 15 €.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Gisèle Freund, « La Photographie en France au XIXe siècle »
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°644 du 1 mars 2012, avec le titre suivant : Gisèle Freund, « La Photographie en France au XIXe siècle »