Rome ne serait tout à fait la même sans ses innombrables fontaines. Une évidence que vient rappeler, à grand renfort de photographies, un séduisant livre paru chez Citadelles & Mazenod. Celui-ci évoque l’histoire de leur création et le génie de leurs architectes avant de décliner ces œuvres singulières, souvent restaurées à la faveur du jubilé de l’an 2000, des fontaines baroques à celles de l’ère fasciste. L’occasion de redécouvrir le mascaron de la via Giulia, la fontanella del Facchino de la via Lata, ou de voir avec un œil nouveau la fontaine des Fleuves (place Navone) celle ou du Triton (place Barberini).
Frédérick Cope, Maurizia Tazartes, Fontaines de Rome, éd. Citadelles & Mazenod, 2004, 207 p., 49 euros.
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Frédérick Cope, Maurizia Tazartes, « Fontaines de Rome »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°197 du 8 juillet 2004, avec le titre suivant : Frédérick Cope, Maurizia Tazartes, « Fontaines de Rome »