MONOGRAPHIE. Peintre de la lumière, François Aubrun (1934-2009) a passé une grande partie de sa carrière dans l’ombre.
Enseignant à Luminy, à Nice et aux Beaux-Arts de Paris, un temps directeur de l’école des beaux-arts de Toulon, l’artiste n’a pas eu le soutien des galeries et des institutions qui lui auraient apporté la reconnaissance qu’il méritait pourtant. Ceci ne l’a pas empêché, installé au Tholonet, à l’ombre de la Sainte-Victoire de Cézanne, de réaliser un travail sensible, plein de certitudes. « Rien de nouveau sous le soleil » diront certains devant une œuvre qui semble poursuivre des chemins déjà arpentés par de Staël, Messagier, Soulages… C’est vrai. Il n’en reste pas moins un excellent peintre et une œuvre exigeante, touchante même.
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François Aubrun - L’absolue peinture
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Abonnez-vous dès 1 €François Aubrun, L’absolue peinture, textes de F. Pajak, D. Coutagne et G. Duby, Les cahiers dessinés, 316 p., 59 euros
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°657 du 1 mai 2013, avec le titre suivant : François Aubrun - L’absolue peinture