XIXe. Dans la floraison des ouvrages publiés à l’occasion de la rétrospective « Delacroix » au Louvre, deux s’en distinguent sans se faire concurrence.
Le premier est une réédition mise à jour d’une monographie éditée il y a vingt ans par Barthélémy Jobert, universitaire reconnu et grand spécialiste du XIXe siècle. Le second est une nouveauté rédigée par Stéphane Guégan, conservateur et conseiller scientifique au Musée d’Orsay. Le pedigree des auteurs assure le sérieux de ces publications. Elles sont pourtant très différentes : le « Jobert » est plus universitaire quand le « Guégan » est plus biographique. Si l’un et l’autre suivent plus ou moins un ordre chronologique qui s’impose naturellement dans la production de Delacroix, l’ouvrage publié chez Gallimard est plus érudit et complet, s’appuyant largement sur les textes des contemporains, tandis que celui édité par Flammarion est plus littéraire.
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Delacroix au carré
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°499 du 13 avril 2018, avec le titre suivant : Delacroix au carré