BEAU LIVRE - « Je n’ai jamais aimé le changement pour le changement ; la route m’ennuie : j’aime seulement le voyage à cause de l’indépendance qu’il me donne, comme j’incline vers la campagne, non pour la campagne, mais pour la solitude », écrit Chateaubriand dans ses Mémoires d’outre-tombe. Depuis la cour du roi Louis XVI à Versailles jusqu’aux dernières années de sa vie passées à Vérone, Prague et Vienne, Chateaubriand détaille les monuments et œuvres qui l’ont fasciné. En contrepoint des extraits choisis pour cet ouvrage, les éditions La Renaissance du Livre ont sélectionné des peintures romantiques signées Oudry, Turner, Robert ou Vernet. La Rade et le port de Saint-Malo par Jean-François Hue ou une Marine : clair de lune de Joseph Vernet illustrent ainsi les descriptions que fait Chateaubriand de sa Bretagne natale. C’est Hubert Robert qui l’accompagne à Paris, Turner à Londres, Ingres à Rome et François Barry en Orient…
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Balade romantique
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°180 du 7 novembre 2003, avec le titre suivant : Balade romantique