L’artiste allemand (1471-1528) est l’un des plus grands génies de l’histoire de l’art, sur lequel des milliers de pages ont été écrites.
Mais ces pages ont pour la plupart été produites en langues allemande et anglaise – le lecteur se souvient, sans doute, du livre majeur de Panofsky –, les pays latins, au premier rang desquels la France, ayant étrangement boudé le peintre de Nuremberg (comme tant d’autres artistes allemands, du reste). La réédition chez Citadelles & Mazenod de la traduction de la monographie de Norbert Wolf est donc la bienvenue. Le texte fait la synthèse des recherches sur Dürer : l’attribution du portrait à la pointe d’argent d’Albrecht Dürer l’Ancien (son père), la datation de son premier voyage en Italie, etc. L’ouvrage est organisé par thèmes (« La signature du génie », « Le théoricien »…), jusqu’au dernier chapitre consacré au catalogue des peintures attribuées avec certitude. Mais la force de ce livre réside dans son format imposant (26 x 37,5 cm), lequel offre aux 350 reproductions en couleurs, dont certains détails reproduits en pleines pages, un écrin exceptionnel.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Albrecht Dürer
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°760 du 1 décembre 2022, avec le titre suivant : Albrecht Dürer