PARIS - Le 9 décembre à Drouot (SVV Blanchet & associés), était prévue la dispersion d’œuvres de Picasso ayant appartenu au dernier chauffeur du peintre, Maurice Bresnu, mort en 1991, puis à sa veuve Jacqueline Bresnu, décédée l’an dernier.
Dans le contexte peu propice de l’affaire Pierre Le Guennec, (l’ancien électricien de Picasso soupçonné de recel d’œuvres inédites), les héritiers des Bresnu ont préféré reporter la vente sine die. Mais une étrange coïncidence pousse les policiers de l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels à procéder à quelques vérifications : l’électricien est en effet un cousin par alliance des Bresnu et, à ce titre, l’un des bénéficiaires de la vente annulée.
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Picasso et les pique-assiette ?
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°337 du 16 décembre 2010, avec le titre suivant : Picasso et les pique-assiette ?